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Saint-Granier, de son vrai nom Jean de Granier de Cassagnac, est un acteur et un auteur-compositeur-interprète français, né le 27 mai 1890 à Paris 9e et mort le 25 juin 1976 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Créateur de nombreuses revues, il a également été scénariste, homme de radio et journaliste. Saint-Granier naît dans une famille noble gasconne dont sont issus un grand nombre de journalistes et députés. Sa prime enfance se passe dans un cadre aisé qui le met à l'abri du besoin, mais la mort prématurée de son père en 1897 l'oblige à quitter avec sa mère ce milieu privilégié, ils abandonnent tous deux la maison cossue qu'ils occupaient au bois de Boulogne pour aller s'installer rue de Liège à Paris. Saint-Granier fait alors ses études au lycée Condorcet où il rencontre Jean Cocteau et Alexandre Stavisky. En 1907, la mort de sa mère l'oblige à interrompre ses études. Grâce à l'aide de sa famille, il devient alors agent de change. Durant cette période il fréquente assidûment le milieu montmartrois. Il va souvent écouter Yvette Guilbert, Harry Fragson ou Damia. Par cette fréquentation des cabarets montmartrois, il se forgera une culture satirique qui lui permettra d'écrire dans Le Charivari, l'Indiscret, Bravo, ou dans des journaux tels que Le Matin et Le Journal, où il rédige des chroniques sur la vie artistique parisienne. Jusqu'à la fin de sa vie il se considérera comme journaliste. En 1913 il se lance sur la scène du cabaret Le Porc-Épic pour chanter des textes de sa création, son statut de journaliste le poussant à choisir des thèmes ayant trait à l'actualité. En 1914 il écrit en collaboration avec Yves Merall sa première revue, Tais toi, c'est fou!, qu'il donne dans la salle de spectacle Le Little Palace. En 1916 il ouvre le cabaret Le Perchoir puis en 1918 le théâtre de la Potinière. Entre 1921 et 1928 il s'installe au Casino de Paris où il débute avec Maurice Chevalier en montant six revues : Dans un fauteuil (1921), Paris en l’air (1922), En douce (1923), On dit ça... (1924), Bonjour Paris (1926) et Tout Paris (1928). Le public reprendra certains de ses refrains, tels que Billet doux, C’est jeune et ça n’sait pas, popularisé par Maurice Chevalier, Yo t’aime yo t’adore, Marquita et enfin Ramona repris par plusieurs interprètes et toujours aussi célèbre de nos jours chez les amateurs de chansons françaises, à un point tel qu'il y sera associé toute sa vie contre son gré. Parallèlement à ces différentes activités, il continue à chanter et à se produire dans des cabarets comme Le Grillon, Le Moulin de la chanson, Le Caveau de la République, passe en exclusivité à La Pie qui chante. Il chante aussi dans ses propres revues, auxquelles collaborent Albert Willemetz, Rip ou Jacques Charles. Son succès lui vaut le surnom moqueur de «demi-mondain» en raison de ses origines et de ses fréquentations huppées. Son sourire séducteur lui vaut aussi celui de Singe Granier». ... Source: Article "Saint-Granier" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.
Bébés à gogo
lui-même
1956
Le collège en folie
1954
L'Île aux femmes nues
Cabaret boss
1953
Rires de Paris
1953
Boîte de nuit
Roland
1951
Au fil des ondes
Self
1951
Mon ami le cambrioleur
Fabien de Courcelles
1950
Destins
Saint-Granier
1946
On ne roule pas Antoinette
1936
Tartarin de Tarascon
le prince Grégory
1934
Maquillage
Lucien Leroy
1932
Une étoile disparaît
Self
1932
Criez-le sur les toits
Jules Petitpon
1932
Avec l'assurance
1932
Rien que la vérité
Robert Barnet
1931
Chérie
Charles Dangerfield
1930
Par-dessus le mur
1923
Le taxi 313-X-7
1923
Villa Destin
Alain Morey
1921